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VASARELY – Le partage des formes

Terminant le mois dernier au Centre Pompidou Paris, la première grande rétrospective française consacrée à Victor Vasarely, le père de l’art optique. Un parcours à la fois chronologique et thématique vous emmène parmi toutes les facettes de son œuvre foisonnant, depuis sa formation dans les traces du Bauhaus jusqu’aux dernières innovations formelles : peintures, sculptures, multiples, intégrations architecturales, publicités, études… Au travers de trois cents œuvres, objets et documents, explorez le « continent Vasarely » et la manière dont il a marqué la culture populaire de l’époque, s’inscrivant pleinement dans le contexte scientifique, économique et social des années 1960-1970, et soulignant la place cardinale de l’artiste dans l’imaginaire des Trente Glorieuses. (en collaboration avec le Städel Museum, Francfor) Vasarely-00 Vasarely-01

GOUIPHAR 1947
Par son titre comme par son répertoire formel, Goulphar, du nom d’un sites remarquables de l’ île bretonne , présente toutes les caractéristiques de la série « Belle-Île ».
Les formes sont celles des galets et des éclats de verre roulés, mais aussi celles des remous et des tourbillons d’eau dans les rochers, les nuages le matin, du soleil couchant à l’horizon.

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Pour Vasarely « C’est la liaison secrète qui existe entre les lieux et les objets, entre les différents éléments entre les planètes » qui se montrent dans les ovoïdes et les ellipsoïdes de la série.
Ceux-ci conservent aussi le souvenir de l' »unique milieu tourbillonnant » dont sont sortis les êtres et les choses. Le galet mets Vasarely sur le chemin de la rêverie cosmique.

source texte Centre Pompidou

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